samedi 31 juillet 2010

Vers l'Ouest...

Nous repartons de Puerto Quijarro tout à l'heure : le train du samedi (12H45) en direction de Santa Cruz. Étapes à San José de Chiquitos et Santa Cruz avant de monter tranquillement vers la Cordillère en passant par Samaipata.

Pantanal bolivien : parc national Otuquis

Toucan Canon...

Longue distance pour arriver à Puerto Quijarro. De là, le Pantanal bolivien ouvre une "petite" porte : un aller/retour vers le rio Paraguay jusqu'à Puerto Bus, où le fleuve fait frontière avec le Brésil. Une journée de 320 km de piste. Très longues lignes droites. La piste est rougie par la terre apportée de la future mine de fer à ciel ouvert qui va bientôt... voir le jour.




Pantanal










vendredi 30 juillet 2010

Sur les chemins de Santiago de Chiquitos









Après notre petite randonnée matinale au mirador, et notre retour au village sous l'oeil (les yeux) de cette limousine (2e race de vaches, veaux et taureaux avec les "brahman"), c'est avec Willy comme chauffeur (et également patron de notre petit hôtel "Giselita") que nous sommes allés voir des peintures rupestres. Elles dateraient d'il y a 4000 ans...







Saint Jacques de Chiquitos




Deux nuits à Santiago de Chiquitos

Dernier village de la route des missions, comme l'aboutissement d'un chemin, nous sommes arrivés à Saint Jacques de Chiquitos. Au fin fond de la forêt si dense qu'on appelle ici le "cerrado", le "fermé".
La fête du village était terminée depuis deux jours, mais nous avons eu l'occasion de voir la fête des "aïeux" scandée par les jeunes du village.

Vers Santiago de Chiquitos. Mardi 27 juillet

Arrêt du bus au village.

Le rocher impressionnant au village de Chochis.

Roboré : changement de bus pour prendre le petit local qui rejoint Santiago de Chiquitos par l'unique piste de terre.

On the road again !

Incorrigibles... On a loué deux motos pour deux heures de "run". Ouais : des lignes droites de 4 km, 90 km en deux heures sur le bitume (pardon, là, c'est du béton) de la route toute neuve qui relie Santa Cruz au Brésil. Juste pour le plaisir...

San José de Chiquitos

Difficile de perdre son chemin dans les rues de ces villages tracées (presque) en perpendiculaires. On peut toujours y laisser ses chaussures et terminer sa course...
... devant l'église. Pied (s). C'est le ou à (Ha ha !).
Néanplus, quelque soit la route empruntée, inutile de suivre
les vaches pour trouver de
l'herbe : elle est partout (bien souvent sèche en cet hiver austral -mais quand même).
nous pouvons donc suivre le vol des aras
de loin (!)
ou bien encore surveiller les oiseaux des falaises en quête de moustique (là on n'est pas loin du mimétisme sauf qu'on n'a pas besoin de les chercher et qu'on peut s'en passer).
Et là c'est vrai, la Nature est grande et belle. Pssssttt : pour voir les singes vous repasserez quand vous vous serez cotisés pour me payer un 600 mm ! Notez : je suis brave, je veux bien le trainer dans mon sac (c'est pas rien !).
Alors on a bien regardé.
Patricia avec Swanne bien à l'abri au bord de la falaise. NB : Swanne a partagé son goûter avec tous. Excellente éducation : prenez exemple...
Et puis, contents, on est redescendus sous la lune...

NB 2 : vous pouvez vous cotiser aussi pour un ordi ultralégerperformantétancheantichocetannalergiqueomoustiquesmoucheronséotresvolatilesetjeanpassemercibocou.